La raison la meilleure
devient la plus forte
Les Indices de Développement de l’Intelligence Sociale (IDIS)Un indice a été créé pour chaque indicateur afin d’établir un étalon universel qui positionne tous les indicateurs et tous les pays sur une même et unique échelle.
Calcul des IDIS (Indices de Développement de l’Intelligence Sociale)
Chaque indicateur est étalonné selon un seul et même barème. Echelonnée de 0 à 100, l’échelle répond aux critères suivants :
- Le « 0 » traduit une situation atypique extrême, dénuée de toute prise en charge ou relevant du pire.
- Le « 100 » répond à une situation de perfection extrême dans l’idéal sociétal.
- Le « 50 » correspond à une situation de tendance centrale observée, moyenne ou médiane.
- Une homogénéité de dispersion de l’ensemble des indicateurs a été recherchée de façon à neutraliser tout effet de distorsion. Pour chaque indicateur : 80% des situations observées sur les dix dernières années s’inscrivent entre les niveaux 20 et 80 sur l’échelle de 0 à 100.
-> Pour les indicateurs qui traitent d’informations à caractère positif (comme le PIB par habitant, c’est-à-dire les indicateurs dont la croissance est une incidence positive) :
- Le score minimum est soit 0% (le minimum absolu), soit la situation la plus faible connue sur les 10 dernières années ou envisageable dans les 10 prochaines.
- Le score maximum est soit 100% (le maximum absolu), soit la situation la plus élevée envisageable sur ces 20 années.
-> Pour les indicateurs qui traitent d’informations à caractère négatif (comme le taux de chômage, c’est-à-dire les indicateurs dont la croissance est une incidence négative) :
- Le score minimum est soit 100% (le maximum absolu), soit la situation la plus défavorable connue sur les 10 dernières années ou envisageables dans les 10 prochaines années.
- Le score maximum est soit 0 (le minimum absolu), soit la situation la plus favorable envisageable sur ces 20 années.
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Impacts des IDIS sur les analyses
Les IDIS simplifient l’observation et autorisent une analyse affinée de l’ensemble mondial dans le temps, dans l’espace et par thème. Ils permettent de :
- Pondérer les classements pour obtenir des classements relatifs précis :
- Donner une vision plus fine des écarts entre pays que le simple rang dans les classements. En effet, deux pays classés l’un derrière l’autre au regard d’un indicateur peuvent être séparés d’un écart infime ou d’un écart très important : Si la moyenne des classements gomme cet écart, à l’inverse, la moyenne des indices prend en compte l’ampleur des écarts entre pays sur chaque indicateur ;
- Multiplier les possibilités de croisements entre indicateurs, entre agrégats, entre sous-agrégats… ;
- Mesurer l’amélioration ou la détérioration intrinsèque des résultats d’un territoire, quel que soit son classement par rapport aux autres, à la fois indépendamment et en comparaison des autres :
- Analyser un pays intrinsèquement, quel que soit son classement par rapport aux autres ;
- Multiplier les possibilités de regroupement de pays (continents, religions, langues, etc.) ;
- Comparer les évolutions chronologiques sur tous les indicateurs et tous les pays.
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