Jean-François Veysset, Vice-Président aux Affaires Sociales de la CGPMELa mobilisation de tous pour les droits de tous. .. créativité et pragmatisme.
La place de la France et de la francophonie régresse. Nous devons réagir. Autopersuadés d'être les plus intelligents, nous nous sommes progressivement repliés sur nous-même, et endormis sur certains fleurons. Les défis de la mondialisation doivent nous réveiller.
J'ai été très tôt sensibilisé en tant qu'acteur au sein de «toute petites entreprises», de la place centrale qu'occupe le dialogue social au quotidien ; écoute des collaborateurs, écoute des clients. fondements de ce dialogue.
De l'expérience des grandes entreprises, j'ai tiré l'enseignement :
- que les possibilités de dialogue étaient beaucoup plus cloisonnées,
- et que le système hiérarchique entraînait un verrouillage de la compréhension.
Ce que j'ai découvert à l'Odissée : un lieu de facilitation du dialogue avec des personnes de tous horizons, voulant partager une réflexion pour dessiner pour demain une Société qui se comprenne mieux et qui accompagne un maximum de personnes. La mobilisation de tous, pour les droits de tous et le partage d'une conception de projet sociétal. Et, la légitimité d'un projet sociétal est là où elle a ses racines : sur le territoire.
Une particularité à souligner : depuis la crise du pétrole, plus une petite entreprise prend son temps pour réussir, et plus elle progresse. Le parallèle : trop de gens ont un cursus universitaire trop long qui ne permet pas de s'insérer dans la société (cf. formation continue à développer). Le vécu dans l'entreprise est essentiel.
A l'Odissée beaucoup partagent ce concept de développement durable ; il s'agit de transmettre aux jeunes générations un monde viable.
Pourquoi les organisations doivent être à l'Odissée ?
Comme toutes les organisations, la CGPME est régie par les différents codes qui créent un enfermement, un cloisonnement.
Dans la structure actuelle des 8 organisations reconnues, les 5 organisations de salariés (CFTC, CGT, FO, CFTC, CFE, CGC) et les trois, Médef, CGPME, UPA et avec les différents représentants du monde agricole, rural (ouverture sur INSA, FSU) , les étudiants.... toutes ces strates vivent mal le dialogue.
Je citerai l'impasse dans laquelle se trouvent les partenaires sociaux : le législateur leur a demandé des propositions sur la pénibilité. En fait, comme les solutions devraient être individualisées en fonction des branches professionnelles et qu'il y a un problème de financement, la réflexion est dans l'impasse.
Avec l'Odissée, nous avons décidé de faire bouger les choses en développant une nouvelle démarche visant à mieux s'écouter car on est plus intelligent à plusieurs.
De l'expérience des grandes entreprises, j'ai tiré l'enseignement :
- que les possibilités de dialogue étaient beaucoup plus cloisonnées,
- et que le système hiérarchique entraînait un verrouillage de la compréhension.
Ce que j'ai découvert à l'Odissée : un lieu de facilitation du dialogue avec des personnes de tous horizons, voulant partager une réflexion pour dessiner pour demain une Société qui se comprenne mieux et qui accompagne un maximum de personnes. La mobilisation de tous, pour les droits de tous et le partage d'une conception de projet sociétal. Et, la légitimité d'un projet sociétal est là où elle a ses racines : sur le territoire.
Une particularité à souligner : depuis la crise du pétrole, plus une petite entreprise prend son temps pour réussir, et plus elle progresse. Le parallèle : trop de gens ont un cursus universitaire trop long qui ne permet pas de s'insérer dans la société (cf. formation continue à développer). Le vécu dans l'entreprise est essentiel.
A l'Odissée beaucoup partagent ce concept de développement durable ; il s'agit de transmettre aux jeunes générations un monde viable.
Pourquoi les organisations doivent être à l'Odissée ?
Comme toutes les organisations, la CGPME est régie par les différents codes qui créent un enfermement, un cloisonnement.
Dans la structure actuelle des 8 organisations reconnues, les 5 organisations de salariés (CFTC, CGT, FO, CFTC, CFE, CGC) et les trois, Médef, CGPME, UPA et avec les différents représentants du monde agricole, rural (ouverture sur INSA, FSU) , les étudiants.... toutes ces strates vivent mal le dialogue.
Je citerai l'impasse dans laquelle se trouvent les partenaires sociaux : le législateur leur a demandé des propositions sur la pénibilité. En fait, comme les solutions devraient être individualisées en fonction des branches professionnelles et qu'il y a un problème de financement, la réflexion est dans l'impasse.
Avec l'Odissée, nous avons décidé de faire bouger les choses en développant une nouvelle démarche visant à mieux s'écouter car on est plus intelligent à plusieurs.
L'action de la CGPME
La CGPME invite ses correspondants territoriaux à s'impliquer dans l'Odissée pour contribuer au rapprochement des personnes, à une meilleure compréhension des faits, et au développement de l'esprit d'entreprise.
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