L'éducation, outil privilégié de l'intergénérationnel...... et un axe fort du Mouvement pour le Développement de la Coopération Intergénérationnelle
De toutes les fonctions sociétales interconnectées qui constituent la morphologie d'une société, à savoir le travail, la santé, l'éducation, l'habitat, le loisir, l'éducation peut être considérée comme primordiale.
Le savoir constitue la vraie richesse. Il est la munition sans laquelle le combat contre la précarité, la dépendance et l'ignorance ne peut pas être gagné quelles que soient les bonnes volontés
Rappelons en premier lieu que le droit à l'éducation figure dans la déclaration universelle des droits de l'Homme (article 26) .
Un des objectifs de toute économie humanisée devrait être d'offrir à tout homme la possibilité de se rapprocher de son semblable pour le comprendre et s'enrichir de ses différences ; lui donner de nouvelles possibilités de connaître le monde et de l'envisager comme un bien public placé au service de toute l'humanité et ainsi d'être un agent économique actif et une personne sociale responsable,
Cette évolution positive ne peut se faire que par un changement de mentalités.
Inversons la tendance qui nous pousse vers un individualisme forcené générateur de fractures intergénérationnelles, au détriment de notre engagement sociétal..
Cela suppose de fortifier et de fertiliser, avec la coopération des Anciens, la mémoire de ce qui a été fait, par plus de connaissance et de conscience des réels passés et possibles afin de mieux imaginer nos futurs souhaitables et d'initialiser des projets sociaux innovants pour le bien commun, avec le concours de tous.
Qu'il s'agisse de la création d'une banque des savoirs ou de la mise en place d'une université du futur avec les aînés, il faut que ces projets soient conçus comme des systèmes ouverts et non comme le surplus d'autres systèmes.
Le but est d'inventer pour l'avenir de notre Société une stratégie globale de la coopération intergénérationnelle. Cela suppose que l'éducation porte ses efforts sur la capacité de chacun d'écouter et de recevoir mais aussi de donner et de s'engager, en d'autres termes de faire preuve de citoyenneté et d'esprit entrepreneurial.
Pas question de critiquer ce qui est fait dans ce sens , souvent sous la forme de microprojets., Loin de la marchandisation des savoirs et de la rigidité des enseignements disciplinaires, l'objectif est de réunir ce qui a été fait de çi de là pour intégrer la dimension intergénérationnelle à l'action pédagogique, de tirer les leçons des échecs, d'amplifier les réussites, d'unifier si besoin était, dans la variété et la diversité, sans a-priori afin d'offrir aux jeunes générations, la possibilité d'améliorer leur conduite de vie et leurs condtions d'existence.
C'est à cette tâche que le MDCI modestement mais fermement s'est attelée convaincu que l'expérience du passé est une richesse nationale .Nous militons avec d'autres pour le développement des réseaux du savoir qui prennent en compte le patrimoine culturel. Nous nous réjouissons.que la loi ait inscrit aujourd'hui dans le socle commun des connaisances de l'école, « une culture scientifique et humaniste permettant le libre exercice de la citoyenneté »
Rappelons en premier lieu que le droit à l'éducation figure dans la déclaration universelle des droits de l'Homme (article 26) .
Un des objectifs de toute économie humanisée devrait être d'offrir à tout homme la possibilité de se rapprocher de son semblable pour le comprendre et s'enrichir de ses différences ; lui donner de nouvelles possibilités de connaître le monde et de l'envisager comme un bien public placé au service de toute l'humanité et ainsi d'être un agent économique actif et une personne sociale responsable,
Cette évolution positive ne peut se faire que par un changement de mentalités.
Inversons la tendance qui nous pousse vers un individualisme forcené générateur de fractures intergénérationnelles, au détriment de notre engagement sociétal..
Cela suppose de fortifier et de fertiliser, avec la coopération des Anciens, la mémoire de ce qui a été fait, par plus de connaissance et de conscience des réels passés et possibles afin de mieux imaginer nos futurs souhaitables et d'initialiser des projets sociaux innovants pour le bien commun, avec le concours de tous.
Qu'il s'agisse de la création d'une banque des savoirs ou de la mise en place d'une université du futur avec les aînés, il faut que ces projets soient conçus comme des systèmes ouverts et non comme le surplus d'autres systèmes.
Le but est d'inventer pour l'avenir de notre Société une stratégie globale de la coopération intergénérationnelle. Cela suppose que l'éducation porte ses efforts sur la capacité de chacun d'écouter et de recevoir mais aussi de donner et de s'engager, en d'autres termes de faire preuve de citoyenneté et d'esprit entrepreneurial.
Pas question de critiquer ce qui est fait dans ce sens , souvent sous la forme de microprojets., Loin de la marchandisation des savoirs et de la rigidité des enseignements disciplinaires, l'objectif est de réunir ce qui a été fait de çi de là pour intégrer la dimension intergénérationnelle à l'action pédagogique, de tirer les leçons des échecs, d'amplifier les réussites, d'unifier si besoin était, dans la variété et la diversité, sans a-priori afin d'offrir aux jeunes générations, la possibilité d'améliorer leur conduite de vie et leurs condtions d'existence.
C'est à cette tâche que le MDCI modestement mais fermement s'est attelée convaincu que l'expérience du passé est une richesse nationale .Nous militons avec d'autres pour le développement des réseaux du savoir qui prennent en compte le patrimoine culturel. Nous nous réjouissons.que la loi ait inscrit aujourd'hui dans le socle commun des connaisances de l'école, « une culture scientifique et humaniste permettant le libre exercice de la citoyenneté »
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